lundi 30 juin 2008

Ils nous ont rejoints !

Salut a tous !

Fanny et Antoine nous ont rejoins depuis peu en Mongolie. Et nous sommes deja partis faire une journee de cheval ensemble a Telerj comme la premiere fois pour nous. Comme c'est a deux heures de route d'Oulan bator c'est pratique.

Ce fut une belle randonee et on s'est vraiment fait plaisir. La veille on avait plante les tentes au milieu de la prairie, helas l'humidite du bois ne nous a pas permis de faire un grand feu, seulement un petit, mais nous avons pu deguster le jambon, les riettes, le foie gras et le fromage qu'Antoine et Fanny avaient ramene de Paris.
Ah ben oui, il n'y a pas de petits plaisirs et le saucisson d'Ardeche c'est quand meme pas commun pour nous qui avons quitte la France depuis des mois.

Cette fois pas de chute, il faut dire que avec Marc nous avons tout de meme passer quatre jours a cheval au lac Hovsgol ce qui nous a permis d'apprendre tout de meme un peu a monter a cheval. D'ailleurs je vais envoyer les photos de ce trek tout de suite vous verrez un peu.
Et puis aussi les photos de cette journee tous les quatre.

A bientot Et gros bisoux !

vendredi 27 juin 2008

Impressions (en vrac) de Mongolie

Alive


Anciens chevaux


Avec un cametard ruskof de passage


Camionneuses


Comment traverser… ça ?


Couchant


Don Sergio


En face de la tente


En relevant la ligne


L'empire du héros national


La passe


La steppe au couchant


la steppe


La yourte dedans


La yourte dehors


Le camp


Le lac Hovsgol au nord du pays


Le minibus avant le chargement des 6 passagers


Le théâtre national


Les troupeaux aux mille têtes


Maniement de la démocratie


Mongow way


On apprend à fumer la viande


Si on plantait ici


Sur la route


Un chevreau de 4 jours


Votre maison ici…


Western

jeudi 26 juin 2008

Hovsgol Lake (suite)

Salut a vous !

Les photos arriveront prochainement, Marc est en train de les trier pour vos petits yeux.

J'avais arreter mon recit a notre embourbement, vous vous doutez sans doute que si vous lisez ces lignes c'est que nous nous en sommes sortis.
Mais c'est assez saisissant de se voir au petit matin, au milieu de nulle part, parce que il faut bien le dire en Mongolie il y a beaucoup d'espace.

Une fois la voiture sortie de la boue, nous continuons notre periple jusqu'a ce qu'une riviere croise notre chemin. A ce moment la on se rend compte que nous sommes assez adapte au mode de pensees du pays pour ne pas se dire "Mais c'est completement aberant de vouloir traverser une riviere avec une berline." Mais plutot " Bon, on fait comment pour traverser cette riviere"
Type d'idee que je n'aurai jamais eu en France.
Finallement un camion nous a tire sur l'autre berge.

Vingt-six heures apres le depart de la capitale nous arrivons a Moron, la capitale de la province.

Cette nuit la nous avons plante la tente pres d'une riviere comme on en voit dans les films : Coucher de soleil, chevaux traversant la riviere, Marc qui sort son cache poussiere et son chapeau et qui fait le beau. (photo a l'appui)

Le lendemain, un minibus bourre de cartons, nous emmene jusqu'a Hatgal ou nous avons louer le guide et les chevaux pour quatre jours.
Les photos parleront mieux que moi de ce que nous avons croise.

Faut que je vous laisse, Serge, qui nous heberge nous emmene voir une pierre qui exauce les voeux.

Bises

mardi 24 juin 2008

Telerj et Hovsgol Lake

Road Movie et chevauchee fantastique

Salut a vous !

Voici un petit bout de temps que nous ne vous avons pas donne de nouvelles, toutes nos exuses mais ce n'est vraiment pas evident de tout faire en meme temps.

A notre arrivee a Oulan Bator il y a dix jours de ca nous avons ete sonne chez Serge. Un routard rencontre au Nepal nous avait recommander sa guest house comme etant pas chere du tout et le personnage haut en couleur. Effectivement nous n'avons pas ete decu. Il nous a recu chez lui au 5 etage d'un immeuble qui paye pas de mine. Mais c'est un personnage et on a passer la soiree avec lui et deux autres francais qu'il hebergeait a ce moment la. Leger mal de cheveux le lendemain mais parfait.
C'est devenu notre pied a terre a Oulan Bator, c'est notre troisieme passage dans la ville et on est vraiment bien chez lui.

On est tout d'abord parti a Tlelerj un parc National situe a 80km au nord ouest de la capitale. Et la nous avons decouvert la joie de l'equitation...
On a loue des chevaux et une guide pour la journee et c'est parti.
La guide ne parle pas anglais et nous on sait pas monter a cheval. Pas de probleme, le principe c'est de crier "Tchou !" et de donner un coup de bride sur l'arriere du cheval.
Ah ca a l'air tres simple mais il faut vraiment savoir faire le Tchou et cogner sur l'arriere de la bete. On a un tantinet galere... Premiere chute pour moi le matin : Un gros bleu mais ca va et on continue.
En gros je vous conseille de relire les Lucky Luke et vous voyez le gag de desarconner le cavalier en passant sous une branche basse ?
Eh ben c'est ce qui m'est arrive et ca fait un drole d'effet de voir la branche de tres pres.
Marc lui s'inspire plus de John Wayne pour ses cascades, le coup de monter sur un cheval qui part en meme temps au galop, vous voyez ? Le debut de l'action etait tres joli, l'atterissage particulierement loupe mais j'ai vraiment cru qu'il allait reussir. Pas de mal non plus, enfin une belle eraflure et une belle frayeur tout de meme.

Apres avoir ete manger chez la famille de notre guide, son fils de six ans nous a accompagne et nous a monter comment lance les chevaux au galop, franchement on a plus appris avec le mome qu'avec sa mere et on s'est vraiment fait plaisir.
La fin de la ballade soit, sept heures plus tard sur le cheval, on n'en pouvait plus. On a souffert comme rarement. Je crois que j'ai jamais eu aussi mal partout. une bonne nuit de sommeil, la journee du lendemain a regarder passer les yaks et les chevres et les chevaux.

Il faut dire qu'on a planter la tente dans une prairie a l'exterieur de la ville, petit feu et paysage de reve. On est entre dans les photos. Je vais poster les images ce sera plus clair.

On est rentrer a Oulan Bator chez Serge pour repartir le lendemain pour Hovsgol Lake, le second plus grand lac d'Asie centrale, pas loin de la frontiere russe.
On est parti avec deux Mongol rencontres a la station de bus qui se proposeraient de nous enmener pour moins cher en voiture.

Ok, c'est parti !
Et la ca commence comme dans un film...
On part a la banque, puis on passe chez un gars, puis on repasse a la banque et encore chez un autre gars. On charge nos affaires puis un pc et les bagages d'une demoiselle qui s'installe a l'avant. Ainsi que different petits paquets. De quoi se demander si les gars ont pas fait un hold-up a la banque ou si c'est pas le debut d'un kidnapping. Parce que le fait de faire trois fois le tour de la ville avant de partir pour traverser le pays c'est pas ce qui me semble le plus logique.

Et finalement c'est parti. Evidement on part au moment ou une tempete de sable se leve, ca c'est pour en rajouter dans le cote dramatique, c'est pour l'ambiance. Le gars qui nous avait aborde en anglais descend finalement de la voiture et nous dit :" Allez bon voyage" avec son pote qui parle pas un mot d'anglais et la demoiselle qui n'a pas prononce un mot et a meme refuse de se presenter...

Apres quelques heures de route, l'asphalte disparait et laisse place a la piste, on est en plein dans un orage monstrueux. Il fait nuit noire. Le conducteur ou plutot le pilote trouve sa route au juger quite a passer tout droit dans l'herbe, de toute facon il n'y a pas une piste mais cinq ou six paralleles et le jeu consiste a choisir celle ou il y a le moins de boue et d'eau. On a roule comme ca une bonne partie de la nuit. Lorsque l'on s'est retrouve au coeur de l'orage sur le coup de deux heures du matin, le conducteur a dormi deux heures histoire de se reposer.

Avec Marc on aurait bien voulu le relayer au volant mais les capacites de pilotages necessaire pour ne pas planter la voiture depassait de loin nos competences. Le pilote est etudiant en graphisme, ce qui ne l'empeche pas d'avoir de solide notions de mecanique pour gerer les petits soucis de parcours.

Au petit matin, il fallait que ca arrive, on s'est embourbe. Et pas a moitie.

La suite au prochain episode

Bise a tous !

jeudi 12 juin 2008

Premières photos de Mongolie…

mail reçu le 10 juin :

Bonjour
Comment allez-vous ?
Nous sommes à Oulan Bator avec Marc et comme nous allons continuer à nous déplacer à travers le pays, je ne sais pas quand nous pourrons poster des messages sur le blog
voici donc quelques photos en avant première, avant même le récit.
Bises

Le logo du transibérien


Sur le trajet




Nos premiers chameaux


passagers avant le départ avec bagages


Le désert de Gobi








Des chevaux dans le désert


Oulan Bator
Modernité…


et Histoire (Gengis Khan)


Devant le parlement




Gengis Khan au parlement

vendredi 6 juin 2008

The Wild wild Wepal....

Prenez un taxi parisien dont une douzaine de rollers ont erafle la jolie merco brillante achetee a credit a un taux dement la veille, qui vient de se faire jeter par sa maitresse et sa femme dans la meme journee apres sa troisieme prise de speed ; vous tenez un apercu soft du niveau de nerfs des chaufeurs de bus nepalais.

Ajoutez une route defoncee, la nuit, des gens malades dans le bus et les memes chauffeurs qui, en face, tiennent au moins autant que le notre a prouver que Colin Mac Rae en a une toute petite.
Quelques heures plus tard ,en pleine pampa le bus stoppe -une cinquantaine de metres apres le coup de frein-.Les deux touristes au fond, descendez la.
Chitwan , ou presque ,une entourloupette de taxi et on penetre dans les trefonds d'une guest mal eclairee ou les chenilles ressemblent a des serpents et les scarabes a des souris d'ordi.

Bienvenue au Wild Nepal.
Des l'aube , on saute en "canoo" flanques de deux gus, type gardes forestiers, avec gros batons en bambous, indispensables pour obtenir l'acces au parc. La pirogue est menee par un local visiblement muet maniant la perche a la perfection.
Une riviere large et peu profonde glisse entre les cotonniers ,les crocos prennent leur premier bain de la journee alors que grues et perroquets fusent dans la brume du matin.

Debarquement. Les deux gardes nous encadrent alors qu on progresse dans les hautes herbes. A la mousson la flotte monte d une quinzaine de metres et la zone est infestee de sangsues et de crocos.
La jungle est dense , on se ballade dans des entiers de bestioles plus ou moins larges a la recherche de grosses flaques dans lesquelles elles viennent se vautrer.
Une empreinte de petit elephant sauvage fait environ 25*25 cm ,a peine plus large que les entailles de griffes d'ours qui cherchent a retourner les arbres pour se goinfrer les termites.
9H30 ,il fait 46 degres .
La traversee avec de l'eau aux genoux d'un bras de riviere rafraichit. L'empreinte de tigre "fraiche de moins de cinq minutes" de l'autre cote de la rive aussi.

Les guides nepalais sont pires que les chauffeurs. L'affut est une activite champetre qui consiste generalement a se munir de jumelles et d'appareil photos, a grimper une petite cote et attendre l'apparition d'eventuels chevreuils ou petites biches et dont la seule difficulte consiste a ne pas decapsuler sa biere fraiche au moment ou le sanglier pointe son nez a 500 metres de la.

Dans le coin on fonce droit sur la bestiole pour que le touriste ait un max de sensations.
Trois ours massacreurs -noirs- en mode debout et pas content cherchent a appeler leurs potes, furieux du derangement en plein ebat. Les nepalais ne se demontent pas et frappent le sol avec leur baton pour effrayer les poilus.
"Les ours ont prit la bonne decision" nous confie t on dans un rire, a deux on ne peut pas en gerer plus d'un a la fois.

Cahin caha on se retrouve dans les broussailles, les herbes hautes de trois metres quand un rhino en plein bain nous detale sous le nez pour se cacher et grogner quelques metres plus loin.
Les paysages se rapprochent encore de la savanne africaine quand un orage enorme roule sur l'horizon et avale la plaine autour.
Quelques rhinos, une floppe de crocos et oiseaux observes du haut des arbres plus tard et on retraverse en pirogue au couchant avec l'impression de vivre dans un livre.

Le lendemain, lever a l aube il nous faut mettre moins de quatre heures pour voir la nursery d elephants.Un deluge de daims, des perroquets, des faisants, des varants des forets de lianes rampantes avec nos deux apaches ravis de se ballader avec " la frange sympa des 10 pour cent de gens contents d'etre la sur les deux pour cent qui marchent et ne prennent pas la jeep".

Retour au village ou on tombe sur le bain de elephants avant de prendre une pause siroter un lassie banane , rencontrer un tibeto-mongolo-chinois et se jeter a la riviere.
On enchainera avec une ballade epique en jungle -on y prend gout- a dos de l'elephant le plus lent du monde.
Au retour le tolier stresse nous envoie chercher des pepettes a 30 bornes de la, de nuit , en moto.Ma premiere fois sur un deux roues motorise, j ai trippe.Celine respire toujours et peut encore parler.

A peine une heure et demi de sommeil et on repart direction Kathmandou.Deux jours de montagnes de papiers, coups de fils, achats a faire, on embarque dans l'avion pour Gonzhu -Canton- .Impossible de dormir mais on retombe sur le chinois qui m explique le cote pratique du parti unique.
L'avion se pose a 5 heures du mat , a dix on saute dans un train pour Beijing -Pekin-.Vingt six heures de trajet prevues en couchette , deux filets de fruits comme provisions.

Sur trois nuits, 4 heures de sommeil.On s ecroule comme des masses dans une version supra luxe des corails couchette Francais avec ecrans plasmas et vendeur de trucs qui passe avec son chariot dans les couloirs.
On a vu peu de la Chine a ce moment vu les heures de sommeil a rattraper , juste de grands batiment carres , les rues immenses des villes , les ateliers de confection de textile qui tournent toute la nuit et des campagnes decoupees en rizieres carrees bordees de collines comme sur les estampes.

On aura passe peu de temps sur Pekin , juste le temps de faire les visas mongols en express -de rencontrer le premier secretaire de l ambassade du Benin-,de dessiner des cochons pour faire comprendre qu on voulait de la viande , de rencontrer des etudiants en art , de courir dans les 70.000m 2 de la Cite interdite , de tomber sur des toilettes collectives -la plupart des gens n en ont pas chez eux- ou tout le monde matte ce que font les autres, d assister, atteres, au coucher du drapeau sur Tian an men avec les masses qui venaient la comme au cafe , de marcher longtemps dans les rues titanesques (8.5 millions d habitants) en quete d infos et de gens qui baragouinaient tres peu d anglais.

On se catapulte demain , tot , la haut , en Mongolie.
On tachera d envoyer quelques photos depuis Ulan Bataar mais c est vraiment Tres complique dans le secteur.

On vous salue bien fort.

Marc.

Moi, Antoine, a recpoié et collé ce mail comme demandé. Bon courage a vous deux et bonne chance.

dimanche 1 juin 2008

28 mai 2008, Katmandou, changement de regime

Salut a tous !

Voici donc avec encore un peu de retard le recit de nos aventures.

Mais avant cela, desolee mais je ne peux pas vous envoyer de photos de la fin du trek et de tout ce qui s'est passe depuis parce que le lecteur ne lit pas les DVD, c'est beau la technologie...

Donc parmi les derniers evenements, un majeur est a signale, le Nepal est devenu une republique le 28 mai dernier. Apres 240 ans de monarchie plus ou moins parlementaire selon les moments et dernierement assez absolue. Les nepalais ont votes debut avril pour elire les membres de l'assemblee constituante qui a en charge de rediger la nouvelle constitution durant les deux ans a venir.
Cette assemble a forme un gouvernement d'interim qui gouvernera jusqu'aux prochaines elections.

Durant tout le sejour au Nepal, le sujet politique est tombe tres souvent dans la conversation, que se soit dans les montagnes ou bien avec l'epicier du coin. Et c'est meme pas nous qui cherchions a lancer le sujet. On a meme eu droit a un cours de geopolitique et des institutions dans une agence de voyage. Et tout le monde etait ravi que ca bouge. Il faut que les choses changent, c'est ce qu l'on nous disait. Et c'est maintenant ou jamais.

Tout ca pour dire qu'on avait vraiment envie d'aller voir les manifestations a cote de la nouvelle assemblee. Surtout des manifestations de gens contents. Em Framce une manif, c'est forcement pour se plaindre, la c'etait pour feter l'annonce de la nouvelle republique.

Tout le monde attendait l'annonce officielle qui devait etre faite dans la journee. Des le matin des groupes, plus ou moins organises en corteges ont sillonnes les abords de l'assemblee en dansant, en chantant et en criant "Longue vie a la republique !"

On s'est ballade au milieu des groupes et on faisait un peu figure de martiens car il n'y avait pas de touristes dans le quartier. Ca intriguait et ca faisait rire surtout apres qu'on ait ete badigeonne de pigment rouge. C'est la couleur que les Hindous, nombreux dans le pays, utilise pour se faire un point sur le front : la Ticca. Cette couleur protege et symbolise la force et le courage. Et pour l'ocasion elle a ete recupere par les Maos, qui ont gagne les elections, en tant que couleur de la revolution, de la force et du courage. Assez surprenant comme utilisation mais c'etait marrant.

On a rencontrer un Nepalais qui nous a guide pendant l'apres-midi tout en discutant de tout de rien et de tout ce qui ce passait. On etait dans un petit boui boui a l'etage qui donnait sur la rue et la foule se massait a perte de vue pour feter l'evenement.
Et lorsque l'on descendait pour voir de plus pres et que l'on parlait avec notre guide de la journee, presque immediatement les gens s'arretaient pour ecouter. Apprenant qu'on etait francais on nous a demander comment la revolution s'etait faite chez nous. Et voila qu'on se retrouve faire un cour d'histoire en pleine manif le jour de Leur Republique. C'etait absolument saisissant de voir cette liesse generale, les parents qui emmenaient les enfants voir l'annonce de la Republique.

Avec Marc on pensait que ce serait tout simple : l'assemblee se reunit, elle vote la destitution du roi et elle vote le debut de la Republique. Et bien non, ce n'est pas si simple, Il fallait que les deputes se mettent d'accord sur les grandes lignes du regime futur. C'est a dire sur tout si le president de la republique aurai un role reel, comme en France, ou si l'homme fort serait le premier ministe comme en Italie.
Et ces decisions ont pris beaucoup plus de temps que prevu. Resultat vers 18 h, quand la nuit commencait a tomber, la foule s'est petit a petit dispersee, les gens lasse d'attendre comme nous depuis le matin ont decide de rentrer.

On a finalement assiste a la declaration a la tele dans une discotheque de Katmandou.

Le lendemain on decollait pour le Parc National de Chitwan pour tenter de voir quelques bestioles sauvages.

De Katmandou, le jour Zero de la Republique.